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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 18:54

goncourt des Lycéens

 

Le club des incorrigibles optimistes

De: Jean-Michel Guenassia

Prix Goncourt des lycéens

 

Je ne vous raconterai pas l'histoire, L'écriture est simple, naturelle, sans fioritures, c'est un vrai régal. Les critiques nous en ont dit beaucoup sur ce livre d'une incroyable richesse tant au niveau de l'histoire, des personnages, du cadre et de l'écriture. Il n'y a aucune longueur dans ce livre. J’aurais aimé moi aussi continué à vivre avec ses personnages. La dernière page refermée (la fin est admirable) je suis resté plusieurs minutes sans pouvoir me lever de mon fauteuil, bouleversé par ce roman

 

... j'aurais  aimé passer encore un peu de temps dans ce club d'incorrigibles optimistes...

.

Quel bon temps que celui passé sur ce livre, en compagnie de Michel, Cécile, Camille, Sacha, Leonid et les autres....
Je le recommande fortement a tout ce qui aime lire. Surtout n'ayez pas peur des 700 pages, vous le finirez sans vous en rendre compte.

Bonne lecture. Et merci Jean-Michel pour cet œuvre.

 

********

Présentation de l'éditeur

Michel Marini avait douze ans en 1959. C'était l'époque du rock'n'roll et de la guerre d'Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau. Dans l'arrière-salle du bistrot, il a rencontré Igor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient passé le Rideau de Fer pour sauver leur peau. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, trahi leurs idéaux et tout ce qu'ils étaient. Ils s'étaient retrouvés à Paris dans ce club d'échecs d'arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre. Et ils étaient liés par un terrible secret que Michel finirait par découvrir. Cette rencontre bouleversa définitivement la vie du jeune garçon. Parce qu'ils étaient tous d'incorrigibles optimistes. Portrait de génération, reconstitution minutieuse d'une époque, chronique douce-amère d'une adolescence : Jean-Michel Guenassia réussit un premier roman étonnant tant par l'ampleur du projet que par l'authenticité qui souffle sur ces pages.

 

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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 00:49



3 femmes puissantes


Trois femmes puissantes de Marie Ndiaye

 

 

Biographie de l'auteur

 

Marie Ndiaye est née à Pithiviers (Loiret) en 1967. Elle a écrivais la linguistique à la Sorbonne avant d'être pensionnaire de la Villa Médicis à Rome. Elle a reçu le Prix Femina en 2001 pour son roman Rosie Carpe. Ses pièces Sont entrées au répertoire de la Comédie-Française.

 

Présentation de l'éditeur

 

 

Trois récits, trois femmes qui non disent. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour Préserver sa Dignité contre les humiliations que lui inflige la vie Avec obstination méthodique Une et incompréhensible. L'art de Marie NDiaye Apparait ICI Dans toute sa singularité et mystère fils. LA FORCE DE ambulatoire Fils Fils écriture douceur apparente à, aux circonvolutions lentes Qui entrainent le lecteur sous le glacis de la prose d'impeccables Une et raffinée, Dans les méandres d'opinion Une livrée à la pure violence des sentiments.

 

 

Ceci n'est que mon avis .......

 

Quelle galère ... Roman ennuyeux Qui n'apporte absolument rien, Malgré Ce Qu'on essaie de nous faire croire Cette écriture Qui se veut rivaliser, par moments, avec Proust ou les vrais grands classiques est détestable ... .. Mais comment peut-on  Donner un tel Prix à un roman aussi banale, à l'écriture tarabiscotée Qui tente de faire croire Qu'elle est maîtrisée? Du grand n'importe quoi.

 

 

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3 janvier 2010 7 03 /01 /janvier /2010 23:47

Le dieu des petits riens
Le Dieu des petits riens ...
de Arundh hati Roy

Commentaire


"Tout Ce Qu'on Peut-dire de l'Inde est vrai, à y voit les choses plus Clairement Parce que c'est le chaos", affirme Arundhati Roy à propos de ce Premier Livre Qui lui une valu le Booker Prize en 1997. La jeune romancière indienne S'est inspirée du village d'Ayemenem, Dans L'Etat de Kerala en Inde du Sud, Où elle a grandi.

Un monde de bruit et de fureur vu à travers le regard de Rachel et de frère Estha fils, deux jumeaux silencieux, perdus Dans le monde des adultes et des contraintes par eux à la pire des Trahisons. Dans l'odeur douceâtre de l'usine de confitures de la grand-mère, La Lutte des Classes rejoint la lutte des castes et Autour de la grand-tante Redoutable Baby Kochamma s'agitent des personnages tragiques ou pittoresques Comme L'oncle ou Charko Ammu, la mère des jumeaux, fils abandonnée par Mari et amoureuse en secret d'un Intouchable. La seule loi régisse Qui est ce chaos Celle qui précise "Qui devait être aimé et Jusqu'à quel point», Une loi Qu'il coûte cher Toujours d'enfreindre, en Inde ou ailleurs. --

Un récit envoûtant, plein d'humour et d'émotion, servi par une écriture neuve et poétique, Qui recrée le monde de l'enfance - Celui de l'imaginaire et de la Liberté.


Thème


Rahel et Estha Kochamma, deux jumeaux de huit ans, Vivent en Inde, entourés de Leur grand-mère, Mammachi, Qui fabrique des confitures trop sucrées, de l'oncle Chacko, un coureur de jupons invétéré, esprit romantique converti au marxisme pour les Besoins de portefeuille fils, de la grand-tante Baby Kochamma, Qui Nourrit un amour mystique pour un prêtre irlandais, et de Leur mère Ammu, désertée par son mari, qui aime Velutha Secrètement, un Intouchable. Un drame va ébranler Leur existence et les Séparer. Commentaire réagir quand, à huit ans, sur la Somme vous de savoir "aimer qui, comment et jusqu'où? Commentaire survivre quand, après un événement affreux dont un témoin été, On vous demande de trahir la vérité pour l'amour d'Mère UNE? Un récit envoûtant, plein d'humour et d'émotion, servi par une écriture neuve et poétique, Qui recrée le monde de l'enfance - Celui de l'imaginaire et de la Liberté.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 18:54

L’écriture ou la vie….de Georges Semprain


Déporté à Buchenwald, Jorge Semprun est libéré par les troupes de Patton, le 11 avril 1945. L'étudiant du lycée Henri lV, le lauréat du concours général de philosophie, le jeune poète qui connaît déjà tous les intellectuels parisiens découvre à Buchenwald ce qui n'est pas donné à ceux qui n'ont pas connu les camps : vivre sa mort. Un temps, il va croire qu'on peu exorciser la mort par l'écriture. Mais écrire renvoie à la mort. Pour s'arracher à ce cercle vicieux, il sera aidé par une femme, bien sûr, et peut-être par un objet très prosaïque : le parapluie de Bakounine, conservé à Locarno. Dans ce tourbillon de la mémoire, mille scènes, mille histoires rendent ce livre sur la mort extrêmement vivant. Semprun aurait pu se contenter d'écrire des souvenirs, ou un document. Mais il a composé une œuvre d'art, où l'on n'oublie jamais que Weimar, la petite ville de Goethe, n'est qu'à quelques pas de Buchenwald.


 

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 18:32


L’éternité n’est pas de trop….. de François Cheng

Description


Ils n'ont échangé qu'un regard, un sourire peut-être et depuis trente ans bien que la vie les ait séparés, ils ne cessent de penser l'un à l'autre. Dao-sheng était un jeune musicien, Lan-ying, "Fine Orchidée" était fiancée à un seigneur local qui s'arrangea pour faire envoyer le jeune homme au bagne. Au bout de tant d'années, ils tentent de se rejoindre comme deux constellations éloignées que la course du ciel remet en présence. Lan-ying s'étiole, épouse délaissée minée par les chagrins et les épreuves, Dao-sheng a quitté le monastère taoiste où il a appris la médecine et la divination. En la soignant, Dao-sheng va pouvoir lui déclarer son amour. Tout les oppose, le rang, les conventions sociales. Le plus qu'ils puissent espérer c'est de se tenir la main, d'échanger furtivement un sourire mais qu'importe, ils ont l'éternité pour eux. Cet amour courtois plus fort que la mort est-il si différent de l'amour mystique que professent les premiers jésuites qui arrivent en Chine à cette époque de la fin de la dynastie Ming ? L'Éternité n'est pas de trop n'est pas seulement une poignante histoire d'amour, c'est comme Le Dit de Tianyi (prix Femina 1998), comme toute l'œuvre de poète, de philosophe, de traducteur de François Cheng, un pont entre les civilisations chinoise et européenne, la démonstration subtile et émouvante que, par-delà, les époques le pauvre cœur des hommes est bien le même sous tous les climats. --Yves Bellec

Présentation de l'éditeur


Une passion amoureuse à la fin de la dynastie Ming (XVIIème siècle). Dao-Sheng vit dans un monastère en pleine montagne, à la fois médecin et devin, il oscille entre bouddhisme et taoïsme, retenu de tout engagement définitif par un secret vieux de trente ans : son amour toujours vivace pour une jeune fille juste entraperçue alors qu'il avait 20 ans. Aussi décide-t-il de mettre fin à cette obsession en descendant dans la plaine pour tenter d'y rencontrer celle qu'il a aimée. Et la rencontre a lieu, la passion est partagée meme si épreuves et obstacles attendent les amants...

 

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 16:07



Le petit prince de Saint-Exupéry



Nous vivons aujourd’hui dans un monde ou sont oubliées nos véritables valeurs……il me
plait de lire et de relire « le petit prince »

Nous devrions tous le relire un jour, et surtout ….s’en souvenir….nous serions peut être ainsi, plus tolérants les un s envers les autres…..


Présentation


_" Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait : S'il vous plaît... dessine-moi un mouton ! Hein ! - Dessine-moi un mouton... J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. Le chef-d'œuvre universel de poésie, d'humanité et d'émotion..."


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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 15:52



Erasme ….de
Stéfan Zweig

Grandeur et décadence d'une idée

 

Présentation


Il a écrit plus que les écrivains les plus prolifiques, plus que Voltaire, plus que Victor Hugo et aujourd’hui des programmes d’études portent son nom. Figure centrale de l’humanisme, il apparaît comme le symbole de l’Europe. Erasme (1469-1536) marque profondément la culture de son temps en tentant de concilier, en particulier, l’étude des Anciens et l’enseignement de l’Evangile. Infatigable voyageur, mais à la santé fragile, grand ami de l’anglais Thomas More et opposé à l’intransigeance religieuse de Luther, il aime à travailler sur le langage, parcourant la Bible mais aussi se livrant à un iconoclaste Eloge de la folie qui a su traverser les siècles avec son ironie mordante et n’a cessé d’intriguer les commentateurs. De la bonne folie, il écrit qu’elle "se produit quand une agréable illusion de l’esprit délivre l’âme de ses soucis angoissants et l’inonde d’un plaisir multiple". Réviseur du Nouveau Testament à l’époque où l’on redécouvre la Bible, Erasme a le souci communiquer celui-ci au plus grand nombre : "Je suis tout à fait opposé, écrit-il, à l’avis de ceux qui ne veulent pas que les lettres divines soient traduites en langue vulgaire pour être lues par les profanes, comme si l’enseignement du Christ était si voilé que seule une poignée de théologiens pouvait le comprendre

 

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 15:49



Le meilleur des mondes…..de  Aldous Huxley

Critique :

L’auteur était il visionnaire en son temps ? pensait il que moins d’un siècle plus tard les chercheurs cloneraient des animaux, puis des humains ….allons nous vers  un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique ?."

 

 

 Les expérimentations sur l'embryon, l'usage généralisé de la drogue. Ces questions d'actualité ont été résolues dans l'État mondial, totalitaire, imaginé par Mous Huxley en 1932. Défi, réquisitoire, anti-utopie

 

Ecrit en 1931, c'est un chef d'œuvre de la littérature d'anticipation. Auteur engagé, Huxley dénonce une société uniformisée et totalitaire, dans laquelle l'être humain est conçu artificiellement et "à la chaîne". C'est une ode à la différence et aux sentiments authentiques

Défi, réquisitoire, utopie : ce livre , chef-d'œuvre de la littérature d'anticipation a fait d' Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps. Un grand classique à découvrir ou à redécouvrir. C'est toujours aussi étonnant.

 Utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'œuvre de la littérature d'anticipation a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.

 

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 15:41



Médées : auteur…. Gilda Piersanti

 

 

Le roman noir érigé en tragédie classique : l’écrivain italien Gilda Piersanti, auteur de quelques remarquables polars (dont l’excellent Vert Palatino publié l’année dernière chez le même éditeur), s’attaque au mythe de Médée (la mère qui tue ses enfants pour rester femme) à travers le destin croisé (et sanglant !) d’une avocate romaine et de sa cliente. Un texte intense, aux limites du genre.

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Mot de l'éditeur sur "Médées" de Gilda Piersanti

 

Francesca, brillante avocate, livre une bataille féroce pour que Clara, en instance de divorce, obtienne la garde de sa fille. En moins de vingt-quatre heures, un jeu de miroirs infernal se met en place entre l'avocate et sa cliente, dévorée par la passion amoureuse et abandonnée par son époux. L'histoire se transforme alors en tragédie.

Le mythe de Médée, mère qui tue ses deux garçons, nous hante depuis l'Antiquité. Médée, c'est le refus de mourir en tant que femme parce que l'on est mère. En tuant ses enfants, Médée tue la mère en elle pour sauver la femme.

Gilda Piersanti a publié aux éditions Le Passage L'Inconnu du Paris-Rome, Rouge abattoir et Vert Palatino (Prix Polar dans la ville 2006).

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 00:09



Le Jour de grâce  de Robert Hans van Gulik

L'ambiance de ce petit roman policier est particulière, à la fois ancrée dans un pays occidental, et imprégnée par la culture orientaliste de l'auteur. La trame du récit est inhabituelle, les meurtres arrivant à la fin, émaillée de flash-back, voire de permutation du narrateur, et se termine sur une note très zen. Malgré un climat lugubre, c'est une histoire rafraîchissante et facile à lire.

 

 

Biographie de Robert Van Gulik

 

 

Robert van Gulik, (9 août 1910 à Zutphen, Gueldre — 24 septembre 1967 à La Haye) est un écrivain de langue néerlandaise, anglaise, japonaise, voire latine.
Fils d'un médecin militaire, il séjournera dans son enfance à Java où il apprendra le javanais, le malais ainsi que des rudiments de chinois qu'il étudiera plus tard.
Il était également diplomate (Japon, Chine, États-Unis, Indes, Indonésie, Liban, Corée) et sinologue fort réputé.
En 1948, il traduit un roman policier chinois, le Dee Gong An , trois affaires criminelles résolues par le juge Dee-Jen Djieh (plus connu en France sous le nom de « Juge Ti »), fonctionnaire de l'époque T'ang (VIIe siècle de notre ère). Puis, s'inspirant de vieux récits chinois, il écrira dix-sept récits policiers fictifs, affaires mystérieuses débrouillées par son juge Ti.
Intellectuel distingué, il jouait du luth chinois, et dessinait lui-même les illustrations ornant ses romans. Il rédigea un traité sur «La Vie sexuelle dans la Chine ancienne». Il fut même à l’origine d’une mystification en proposant à de grandes bibliothèques nationales une série de réédition d’estampes érotiques de la Chine des Mings dont il est fortement soupçonné d’être l’auteur.
Il s'éteignit en 1967, victime d'un cancer du poumon dû à une trop grande consommation de cigares.
Le personnage du juge Ti a été repris d'abord par Eleanor Cooney et Daniel Altieri puis par l'écrivain Frédéric Lenormand

 

 

 

 

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