Ils reçoivent le cerveau de leur grand-mère défunte

Une famille américaine va poursuivre une société de pompes funèbres après avoir reçu un sac contenant les effets personnels de leur grand-mère défunte et son cerveau

Macabre découverte. Une famille du Nouveau-Mexique, au sud-ouest des Etats-Unis, a engagé des poursuites contre une société de pompes funèbres, après avoir reçu un sac contenant les effets personnels de leur grand-mère défunte et... son cerveau. L’Albuquerque Journal rapporte que la découverte a eu lieu après que les membres de la famille eurent senti une "odeur fétide" émanant d'un sac envoyé par la société de pompes funèbres et de crémation De Vargas, qui contenait les effets personnels de la grand-mère défunte.

Selon le journal, le sac était resté pendant une nuit dans la voiture de l'un des membres de la famille. Il contenait, outre les effets personnels de la grand-mère, un autre sac avec une étiquette au nom de la défunte, sur laquelle était écrit "cerveau". "Vous ne trouvez pas que c'est une erreur terrible? Personne ne devrait être obligé de retrouver un cerveau dans les affaires d'une proche", a déclaré l'avocat de la famille. Le cerveau a depuis été incinéré avec le corps de la défunte, qui était morte dans un accident de voiture.

Johnny De Vargas, propriétaire de la société de pompes funèbres, a rejeté toute responsabilité, accusant une autre entreprise, dans l'Utah. "Nous nous sommes parfaitement occupés de la famille et ils étaient très satisfaits de nos services", a-t-il affirmé.

Dubaï - Trois mois de prison pour avoir fait l'amour sur la plage

Un couple de Britanniques va passer trois mois en prison et sera ensuite expulsé pour avoir eu des relations sexuelles hors mariage sur une plage publique.

Leur avocat a précisé que le couple allait faire appel du  « jugement "le plus tôt possible.

Un tribunal de Dubaï a condamné jeudi un couple de Britanniques à trois mois de prison et ordonné leur expulsion pour avoir eu des relations sexuelles hors mariage sur une plage publique de cet émirat musulman. Le juge a précisé que Michelle Palmer et Vince Acors devront purger leur peine avant d'être expulsés des Emirats arabes unis. Ils ont également été condamnés à payer une amende de 1000 dirhams (272 dollars) chacun pour consommation d'alcool. Aucun des deux accusés, pour le moment en liberté sous caution, ne se trouvait au tribunal.

Tous deux sont sous le coup d'une interdiction de quitter le territoire émirati. Michelle Palmer, responsable d'une maison d'édition à Dubaï, qui a été licenciée depuis que l'affaire a été révélée, et Vince Acors, en visite dans l'émirat, étaient accusés d'avoir eu des relations sexuelles le 5 juillet sur une plage publique, après avoir consommé de l'alcool. Mais les relations sexuelles hors mariage sont interdites dans l'émirat. Leur avocat a précisé que le couple allait faire appel du jugement "le plus tôt possible". Ils ont un délai de 15 jours. Il a ajouté qu'il demanderait que ses clients restent en liberté en attendant l'appel. "Le jugement montre que le juge était convaincu qu'ils n'avaient pas eu de relations sexuelles. Il les a punis pour s'être embrassés en public, ce qui est considéré comme un acte indécent".

Ils nient toute relation sexuelle

Selon l'avocat, les résultats des examens subis par Mme Palmer quelques heures après leur arrestation ont montré "qu'elle n'avait pas eu de relations sexuelles récentes", alors que les résultats médicaux de M. Acors n'ont pas été  concluants. Mais un représentant du procureur a déclaré sous couvert de l'anonymat, qu'il existait des preuves que le couple avait bien eu des relations sexuelles et que le procureur pourrait faire appel de cette sentence jugée "légère". Conformément à la loi aux Emirats, la sentence maximale pour des relations sexuelles hors mariage est un an de prison et la minimale est de trois mois, a-t-il ajouté. La même peine est prévue pour tout "acte indécent" en public.

"Ils auraient dû écoper six mois de prison pour la première accusation (relations sexuelles) et trois mois pour la deuxième (acte indécent en public)", a-t-il poursuivi. Lors d'une précédente audience, le 12 août, Michelle Palmer avait nié avoir eu des relations sexuelles avec son compagnon mais admis l'avoir "embrassé et pris dans les bras", selon la presse locale. Il avait également démenti à l'audience avoir eu des relations sexuelles avec Mme Palmer. Toutefois, un représentant du parquet avait souligné  qu'il avait d'abord admis les faits avant de se rétracter. Quelque 100.000 ressortissants britanniques vivent à Dubaï. Vingt mille autres Britanniques vivent dans d'autres pays membres de la fédération des Emirats arabes unis, et près d'un million de Britanniques ont visité ce pays en 2007.

Attention messieurs, si vous devez vous faire opérer, soyez vigilants……sourire……

ETAT UNIS : Opéré pour une circoncision, il ressort sans pénis.

L’américain de 61 ans devait se faire circoncire pour des raisons médicales, mais son pénis aurait été amputé par le médecin alors que le patient était sous anesthésie.

Une plainte a été déposée à l’encontre du chirurgien, de l’anesthésiste et de l’hôpital.

Les faits remontent à octobre dernier. Philip Seaton, un Américain de 61 ans, doit se faire opérer du pénis dans un hôpital du Kentucky. Plus exactement, l'homme doit se faire circoncire, pour des raisons médicales. Mais lorsque celui-ci se réveille, une tragique découverte l'attend : son pénis a été amputé.

Selon la plainte qu'il a déposé à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital où a eu lieu l'opération, Philip Seaton avait donné son accord pour une circoncision, mais pas pour que son pénis soit amputé, bien qu'un cancer ait été diagnostiqué.

"Des fois, vous avez une urgence et vous avez à le faire, mais le chirurgien pouvait très facilement le recoudre et lui dire "voilà les options que vous avez"", a expliqué l'avocat du plaignant à la chaîne de télévision locale WLKY. "La famille aurait alors dit qu'elle voulait l'avis d'un deuxième médecin." Pour l'heure, les accusés ne se sont pas encore exprimés.

Avion - Deux passagères ivres provoquent un atterrissage forcé

Les frasques de deux jeunes anglaises ont conduit un avion de ligne à atterrir d'urgence à Francfort en Allemagne, alors qu'il effectuait un trajet entre la Grèce et l'Angleterre. Les deux jeunes femmes, âgées de 26 et 27 ans, et en état d'ébriété avancé, se sont mises en colère au moment où les membres de l'équipage ont refusé de leur servir de nouvelles boissons alcoolisées. Les hôtesses les ont également empêchés de boire une bouteille d'alcool de  vie qu'elles transportaient avec elles. Les deux britanniques ont alors explosé, s'en prenant à un passager qu'elles ont voulu frapper avec une bouteille de vodka.

Ouvrir la porte de l'avion

Les jeunes femmes ont ensuite tenté d'ouvrir une porte de l'avion, qui volait à 10.000 m  d'altitude, pour obtenir de l'air frais. L'avion, qui se trouvait alors dans l'espace aérien autrichien, a poursuivi  sa route jusqu'à Francfort. L'appareil n'a donc pas eu d'autres choix que d'effectuer un atterrissage d'urgence à l'aéroport de Francfort où les deux jeunes femmes ont été arrêtées puis  relâchées. La compagnie aérienne, qui n'a pas été citée, veut que les deux femmes  remboursent les frais occasionnés par cette escale non prévue, selon la police.

Finlande - Le sang pompé par un moustique mène au suspect

Décidément…..on se croirait dans « les experts de Miami »….rire…

Retrouvé dans une voiture volée, l'ADN ainsi prélevé par l'insecte a permis à la police d'Helsinki de mettre la main sur un suspect

Les enquêteurs finlandais ne cachent pas leur fierté. L'ADN du sang pompé par un moustique retrouvé dans une voiture volée leur a en effet permis de mettre la main sur un suspect.

"Une patrouille de police a procédé à l'inspection de la voiture et ils ont remarqué un moustique qui avait sucé du sang. Il a été envoyé au laboratoire pour une analyse qui a montré que le sang appartenait à un homme présent dans les registres de la police", a raconté lundi à l'AFP l'inspecteur Sakari Palomäki. La voiture avait été volée en juin à 380 kilomètres au nord d'Helsinki, et retrouvée près d'une gare, une vingtaine de kilomètres plus loin.

"Ce n'est pas habituel d'utiliser des moustiques. Lors de nos stages, on ne nous a jamais dit de garder un oeil sur les moustiques présents sur les lieux du crime", a commenté en riant l'inspecteur Palomäki. "Ce n'est pas facile de trouver un moustique dans une voiture, cela montre à quel point la fouille a été méticuleuse", s'est-il félicité.

Un procureur doit décider si la preuve est suffisante pour inculper le suspect, qui nie avoir volé le véhicule. Il affirme avoir été pris en stop après une randonnée par un homme au volant de la voiture.