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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 00:04

la voie du tao

 

Galeries nationales, Grand Palais

 

31 mars 2010 – 5 juillet 2010

 

 

  "La Voie du Tao, un autre chemin de l’être "

 

 

Ouvertes à tous les champs de la création et en particulier aux grandes civilisations, les Galeries nationales, en co-production avec le musée des arts asiatiques Guimet, consacrent pour la première fois en Europe une grande manifestation au Taoïsme.

 

L’exposition « La Voie du Tao, un autre chemin de l’être » familiarise le public occidental avec un mode de pensée et une conception de l’homme dans l’univers qui lui sont fondamentalement étrangers. Bien sûr, beaucoup ont déjà entendu parler du Taoïsme, du yin et du yang, avec son élégant symbole graphique ou encore du qi gong, cette gymnastique du souffle que l’on pratique en plein air… Mais tout ceci, en dépit de son charme, reste très mal connu. Les différents thèmes abordés et illustrés dans cette exposition, permettront au visiteur des Galeries nationales de comprendre les démarches philosophiques, poétiques, religieuses et scientifiques qui font du Taoïsme « une autre façon de vivre », dont le souci ultime s’apparente à la recherche d’un accord harmonieux et pérenne entre l’homme et l’univers.

 

Avec près de 250 œuvres très diverses, de la peinture à la sculpture, de la céramique à l’art du bronze ou du textile, l’exposition permet de « voir » comment le Taoïsme s’est exprimé au fil des siècles à travers quelques grands thèmes fondateurs, et dévoile de façon transversale et inédite les plus beaux objets des collections du musée Guimet, d’Europe, des Etats-Unis et de Taiwan. Souvent méconnues ou bien détournées de leur véritable contexte, ces œuvres retrouveront ici leur sens plein et entier.

 

Le Taoïsme n’est pas une religion au sens où nous l’entendons généralement, à savoir, inféodée à un dieu unique et créateur, mais plus simplement un mode de vie, un état d’esprit autorisant une pluralité d’attitudes et, par conséquent, d’écoles.
Le Taoïsme est un mode de pensée qui exalte la vie et fait le pari du bonheur des êtres sur terre et au-delà. Il offre à l’appui de ses théories, l’image de la joie rayonnante qui illumine le saint de l’intérieur et se propage à l’extérieur, accessible à tous sans exception.
Les fondements philosophiques du Taoïsme étaient déjà présents dans la société chinoise longtemps avant que ne fut établi un « Taoïsme religieux » à la fin du IIe siècle de notre ère, structuré comme une véritable religion, avec un panthéon, des textes sacrés, une prêtrise, une organisation en paroisse, des temples et des adeptes se réclamant de cette école.

 

C’est le développement ultérieur du confucianisme, puis l’intrusion du bouddhisme, qui - liés à d’autres aléas historiques – ont largement occulté aux yeux de l’Occident l’omniprésence religieuse et culturelle du Taoïsme en Chine. La réédition et la diffusion des textes sacrés du canon Taoïste en 1926, alors menacés de disparaître, a permis que s’engage un effort de traduction, d’analyse et d’interprétation qui permet d’inscrire à nouveau le taoïsme dans le concert des religions du monde.

 


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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 18:37

salon du livre 2010

SALON DU LIVRE 2010


-du 26 au 31 mars 2010,

Porte de Versailles - Paris




Le Salon du livre
de Paris se tiendra  Dans le hall, je de la Porte de Versailles, du vendredi 26 au mercredi 31 mars 2010. Le Là est donné: l'accent sera mis sur l'international et tourné vers L'avenir du livre et ses enjeux. Au rayon des nouveautés, un espace créé Négociations de sérums pour les éditeurs, agents littéraires, les Scouts et responsables des droits étrangers, sous le nom de «Centre des Droits et du» Licences Nouvel. Le Salon accueillera 30 auteurs français, 30 auteurs étrangers et 30 auteurs invités par le Centre National du Livre. Cette pléiade d'écrivains de Différents horizons Ainsi permettra aux échanges, aux rencontres et aux débats d'être diversifie et enrichissants, et aidera une commode Un état des lieux de la vie littéraire. Une grande librairie multilingue avec les ouvrages des 90 auteurs sera mise en place, ainsi qu'une Exposition autour de 30 cabinets de curiosité.

 

Présentation

 

Pour marquer cette 30e édition, Le Salon du livre une rencontre À l'honneur tous les écrivaines et invitera 30 auteurs français, 30 auteurs étrangers Ainsi Que 30 jeunes talents choisis par le Centre national du Livre. L'occasion pour tous de croiser Leurs Regards sur la Littérature, Univers comparateur de leurs romanesques et conceptuels et de un vaisselier état des lieux de la vitalité intellectuelle et littéraire française et étrangère, et ce, Pavillon des Nations Unies sur anniversaire d'environ 1.000 m2 Doté d'Une scène de 300 m2. Une grande librairie multilingue, présentant les ouvrages des 90 auteurs invités, Complètera ce dispositif.

 

Liste des trente auteurs étrangers invités par le Salon :



Paul Auster (Etats-Unis), Ken Bugul (Sénégal), Bernardo Carvalho (Brésil), Umberto Eco (Italie), Alaa El Aswany (Egypte), Michal Govrin (Israël), Jens Christian Grondahl (Danemark), Nedim Gürsel (Turquie ), Edgar Hilsenrath (Allemagne), Peter James (Grande-Bretagne), Daniel Kehlmann (Autriche), Imre Kertész (Hongrie), Yasmina Khadra (Algérie), Andreï Kourkov (Ukraine), Camilla Läckberg (Suède), Dany Laferrière (Canada ), Doris Lessing (Grande-Bretagne), Yan Lianke (Chine), Carlos Liscano (Uruguay), António Lobo Antunes (Portugal), Patricia Macdonald (Etats-Unis), Firouz Nadji-Ghazvini (Iran), Amélie Nothomb (Belgique) , Ludmila Petrouchevskaïa (Russie), Anne Robillard (Canada), Salman Rushdie (Grande-Bretagne), Luis Sepúlveda (Chili), Tarun J Tejpal (Inde), Enrique Vila-Matas (Espagne), Jorge Volpi (Mexique).


Liste des trente auteurs français invités par le Salon:


Olivier Adam, Georges Balandier, Frédéric Beigbeder, Enki Bilal, Jean-Marie Blas de Roblès, Yves Bonnefoy, Emmanuel Carrère, Jean-Claude Carrière, Patrick Chamoiseau, Yves Coppens, Boris Cyrulnik, Marie Darrieussecq, Timothée de Fombelle, Philippe Delerm, Marie Desplechin, Fatou Diome, Jean d'Ormesson, Annie Ernaux, Alain Finkielkraut, Edouard Glissant, Régis Jauffret, Michèle Lesbre, Alain Mabanckou, Léonora Miano, Jean-Luc Nancy, Véronique Ovaldé, Patrick Rambaud, Eric-Emmanuel Schmitt, Joann Sfar, Philippe Sollers.


Liste des trente auteurs invités par le Centre national du Livre:

 

 

Stéphane Audeguy, Arno Bertina, Stéphane Bouquet, Olivier Cadiot, William Cliff, Pascal Commère, Enzo Cormann, Chloé Delaume, Patrick Deville, Dominique Fabre, Antoine Emaz, Mathias Enard, Christian Garcin, Jacques Jouet, Linda Lê, Pierre Michon, Richard Morgiève , Marie Ndiaye, Gilles Ortlieb, Jean-Pierre Ostende, Christian Prigent, Valérie Rouzeau, Jean Rolin, Jacques Roubaud, James Sacré, Lydie Salvayre, Pierre Senges, Jacques Serena, Jean-Loup Trassard, Franck Venaille.
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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 16:15

Photographie - Lisette Model

 

Au Jeu de Paume

 

du 09 février au 06 juin 2010


photographie - Lisette Model 

Belmont Park

New York, 1956

 

 

Pour Lisette Model (1901-1983), photographe américaine d’origine autrichienne, la photographie permet de traquer les aspects d’une réalité en perpétuel changement. Photographiant de manière instinctive, audacieuse et directe, elle produit des images sans concession mais chargées d’humanité qui lui confèrent une place à part dans le courant de la Street Photography qui se développe à New York pendant les années quarante. "Photographier avec vos tripes", avait-elle coutume de dire à ses élèves – parmi lesquelles figures Diane Arbus.

 

L’exposition présente, à travers une sélection de 120 tirages vintage, les travaux les plus représentatifs de Lisette Model, depuis ses premières photographies réalisées à Paris (1933) et sur la Promenade des Anglais à Nice (1934), jusqu’aux images plus tardives réalisées aux États-Unis entre 1939 et 1956, à New York (Lower East Side, Coney Island, les bars populaires, les passants), ou à l’Opéra de San Francisco.

 

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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 18:55




Turner

Turner et ses peintres

 

Galeries nationales, Grand Palais

 

24 février 2010 – 24 mai 2010

 

 

 

Présentation Turner et ses peintres

 

Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée du Louvre, Paris, la Tate Britain, Londres et le Musée du Prado, Madrid.

Elle a été présentée à la Tate, Londres du 23 septembre 2009 au 31 janvier 2010. Elle sera ensuite présentée au musée du Prado, Madrid du 22 juin au 19 septembre 2010.

 

La profonde singularité du peintre de paysages britannique J.M.W. Turner (1775-1851) s’est nourrie de son dialogue avec la peinture tant des maîtres anciens que des ses contemporains tout au long de sa très longue carrière. Ce dialogue, souvent inquiet, pointilleux, volontiers compétitif mais toujours fécond, a nourri le parcours exigeant du peintre. Dès ses débuts, au milieu des années 1790, Turner se montre un aquarelliste particulièrement doué et ambitieux rivalisant avec les plus grands de ses contemporains (dont son ami Thomas Girtin (1775-1802) mais aussi avide de maîtriser la technique picturale en s’inspirant du paysagiste gallois Richard Wilson (1713-1782) et en visitant les premières collections privées britanniques qui, en l’absence de musée, détiennent les œuvres des maîtres anciens que Turner brûle d’égaler.

Tout jeune encore, il fond en larmes devant un tableau de Claude le Lorrain (1600-1682), désespérant de faire aussi bien. Remarqué par ses pairs, il expose très jeune à la Royal Academy et joue volontiers à l’émulation avec ses contemporains tant peintres qu’aquarellistes. Son ambition impérieuse, le pousse à sans cesse étendre le vaste champ de ses connaissances artistiques et de ses champs d’investigation : aquarelles topographiques, marines, paysages classiques, paysages fantastiques, voire scènes de genre ou peintures d’histoires. La variété de ce parcours s’appuie sur la variété des références que cet avide génie sait rassembler.

 

Appliquant d’abord fidèlement les méthodes de la jeune tradition des aquarellistes anglais, Turner aborde la peinture en suivant avec application l’exemple des paysagistes hollandais rembranesques dans une gamme chromatique sombre et encore restreinte. L’exemple stimulant et déjà classique de son grand devancier Richard Wilson l’engage vers le tournant du siècle à entreprendre des paysages classicisants de plus grande ampleur et de coloris plus soutenu. Il étudie en parallèle, avec déférence et bientôt la volonté d’en découdre, l’art des grands paysagistes actifs en Italie au XVIIe siècle : Salvatore Rosa (1615-1673) et Nicolas Poussin (1596-1665). Loin de pasticher ces grands modèles, Turner bouscule d’un souffle puissant et tempétueux la perfection de leurs harmonieuses compositions en inaugurant presque la magistrale tradition du paysage fantastique britannique avec Le Déluge (1805, Tate) directement inspiré du tableau éponyme de Nicolas Poussin (1664, Louvre).

L’exposition propose pour leur confrontation, ses quelques tentatives dans le domaine de la peinture d’histoire (Sainte famille de 1803, collection de la Reine, ou Vénus et Adonis vers 1805, collection privée) qui se nourrissent d’un chromatisme plus riche et plus soutenu fécondé par l’étude de Titien (vers 1490-1576) (La Vierge au lapin vers 1530, Louvre) et de Claude. Ses petites peintures de figures rivalisent à la fois avec des maîtres méconnus à l’époque tels Watteau (1684-1721) (Ce que vous voudrez !, 1822, Williamstown, Clark Institute) ou ses rivaux les plus célèbres tels David Wilkie (1785-1841). Le dialogue fructueux avec les paysagistes de la génération suivante, Bonington (1802-1828) (Scène de la côte française avec des pêcheurs de 1826, tate) et Constable (1776-1837) (L’inauguration du pont de Waterloo, 1829, Tate) vont exalter encore la liberté de touche et de ton de Turner (La plage de Calais, 1830, Bury Art Gallery ou Le Bateau échoué vers 1828, Tate). _ Après 1820, la découverte de Venise (Venise vue du porche de la Madone de la Salute, 1835, New York, Metropolitan Museum) et l’approfondissement de l’étude de Claude Lorrain portent les compositions de Turner vers un très grand raffinement chromatique et une maîtrise des compositions à plans multiples et vaporeux (Palestrina Composition, 1828, Tate). L’exposition permettra à ce titre, comme Turner l’avait lui-même souhaité, de confronter un de ses plus complexes chefs d’œuvre, Le Déclin de l’empire carthaginois (1817, Tate) avec deux des visions magnifiques de Claude Lorrain qui l’ont inspirée : Le Port de mer au soleil couchant (Louvre, 1639) et Le Débarquement de Cléopâtre à Tarse (Louvre).

C’est par la confrontation exigeante et sans arrêt provoquée avec ses peintres de prédilection que Turner a construit son affranchissement, sa sidérante liberté de peindre portée à son apogée dans sa dernière décennie d’activité (Tempête de neige, bateau à vapeur au large d’un port, 1842, Londres, Tate).

 

L’exposition « Turner et ses peintres » retrace et illustre cette construction de la vision de Turner, riche de rencontres multiples, fortuites ou provoquées, mais toujours opportunes et fécondes, tout au long de sa remarquable carrière. Elle rassemble près de 100 tableaux et œuvres graphiques (études, gravures) provenant de grandes collections britanniques et américaines, des musées du Louvre, du Prado, et de Londres.




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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 14:36



Matisse & Rodin :

 

Musée Rodin

 

Du 23 octobre 2009 au 28 février 2010

 

 

Cette exposition confronte l'œuvre sculpté et dessiné de deux immenses artistes Matisse et Rodin. Si la sculpture de Rodin est largement connue, celle de Matisse reste souvent ignorée. De nombreuses correspondances et affinités plastiques existent entre les deux maîtres : leur amour du corps féminin, de la danse ; du mouvement. L'œuvre de ces deux artistes de deux générations différentes permet d'explorer les origines de la modernité dans le domaine de la sculpture

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 14:33



Hommages à Toulouse-Lautrec

 

Les Arts Décoratifs (Paris

 

 

Du Jeudi 18 juin 2009 au 3 janvier 2010

 

 


Exposer les affiches de Toulouse-Lautrec (1864-1901), c'est réactiver la nostalgie d'une Belle Epoque de légende où Montmartre et le Chat Noir étaient le centre du monde. Ses célèbres créations qui fascinent toujours autant aujourd'hui, font partie de la mémoire collective internationale. Les Arts Décoratifs possèdent 26 affiches sur les 31 qu'il a réalisées. Elles seront présentées en regard de l'hommage de cent graphistes contemporains venant de 24 pays, réalisé à l'occasion du centenaire de sa mort en 2001. Réunis sous le titre de " Nouveau Salon des Cent ", ils témoignent de l'actualité et de la vitalité de l'apport de Toulouse-Lautrec.  

 

 

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 16:58



Renoir au XXe siècle

 

Les Galeries nationales du Grand Palais – Paris

 

23 septembre 2009 - 04 janvier 2010

Exposition

 

 

 

« Je commence à savoir peindre. Il m'a fallu plus de cinquante ans de travail pour arriver à ce résultat, bien incomplet encore », déclare le peintre Pierre-Auguste Renoir (1841-1919) en 1913 au moment où l'on peut voir à la galerie Bernheim-Jeune à Paris une importante exposition de ses œuvres, parmi lesquelles des grands nus peints au tournant du XXe siècle
 C'est une révélation. .....

 

L'exposition est construite selon une double perspective : faire redécouvrir une période et des aspects méconnus de l'œuvre de Renoir (les peintures décoratives, les dessins, la sculpture,…), tout en restituant le rayonnement de son art dans la première moitié du XXe siècle en France. Elle rassemble une centaine de tableaux, de dessins et de sculptures de Renoir. Répartis en une quinzaine de sections, ils seront ponctuellement confrontés à des œuvres de Picasso, Matisse, Maillol ou Bonnard, attestant la postérité de Renoir. Ainsi, l'exposition invite à revoir le dernier Renoir en sollicitant le regard que ces artistes de la première moitié du XXe siècle ont posé sur un maître du XIXe siècle qui était leur contemporain.

 

Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée d'Orsay et le Los Angeles County Museum of Art, en collaboration avec le Philadelphia Museum of Art. Elle sera présentée au Los Angeles County Museum of Art du 14 février au 9 mai 2010 puis au Philadelphia Museum of Art du 12 juin au 5 septembre 2010.

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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 23:13

Rembrandt superstar à la Pinacothèque

 

La Pinacothèque de Paris présente en ce moment l'une des périodes les plus intéressantes de l'histoire de la peinture : le XVIIe siècle hollandais.

       
    cliquez sur  
link pour voir la vidéo

 

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 13:58





L'Âge d'Or hollandais

 

À la Pinacothèque de Paris, du 07 octobre 2009 au 07 février 2010

 

De Rembrandt à Vermeer

 

 

Pour sa troisième saison, la Pinacothèque de Paris s’associe avec le Rijksmuseum d’Amsterdam pour présenter l’une des périodes les plus intéressantes de l’histoire de l’art : le XVIIe siècle hollandais.

 

L’exposition présente un ensemble exceptionnel de plus de cent trente pièces dont une soixantaine de tableaux, une trentaine d’œuvres graphiques (dessins et aquarelles), une dizaine de gravures ainsi qu’une dizaine d’objets pour illustrer de manière très représentative la période (tapisseries, faïences, miniatures en bois, argenterie et verrerie).




Une génération d’une richesse sans précédent dans l’histoire des arts vit le jour, que l’on retrouvera seulement à Paris à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Des peintres acquirent eux aussi une spécialité dans un domaine très précis: la nature morte ou la vanité avec Willem Claesz Heda et Pieter Claesz; le paysage avec Jan van Goyen, Jacob van Ruysdael ou encore Meindert Hobbema. Jan Steen ou Adriaen van Ostade illustrent la satire villageoise tandis que Gerard ter Borch et Pieter de Hooch s’adonnent à la comédie de mœurs et aux scènes de genre dont font partie les fêtes paysannes. Emanuel de Witte et Pieter Jansz Saenredam se spécialisèrent dans la peinture de monuments, Thomas de Keyser et Frans Hals devinrent les spécialistes du portrait et Paulus Potter celui des animaux.

 

Doivent être mises à part des individualités comme Vermeer ou Rembrandt qui finalement ne sont pas très représentatifs de cette époque. Ils en sont pourtant devenus les symboles. À la différence des autres artistes, ils s’intéressèrent à plusieurs genres et refusèrent toute spécialisation. Ils demeurèrent l’un et l’autre des modèles absolus, hors du temps et de toute époque, considérés depuis quatre siècles comme les peintres majeurs de l’histoire de l’art.

 

Cette exposition souhaite avant tout mettre en valeur le rôle singulier de Rembrandt: artiste le plus influent de cette époque. Rembrandt eut une notoriété qui lui conféra un statut très particulier et en fit le modèle de cette période par sa tolérance, sa modernité, son réalisme poétique et sa puissance émotionnelle traduite principalement par son usage de la lumière. Maître du clair-obscur, Rembrandt apporte à ses modèles, simples portraits ou scènes religieuses, une dimension, une densité, une beauté humaine inégalée qui font de lui le précurseur de la modernité, un analyste de l’âme et des consciences avec trois siècles d’avance sur ses contemporains.

 

 

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 00:05




MUSEE DU LUXEMBOURG

 

LOUIS COMFORT TIFFANY

COULEURS ET LUMIERE

 

16 septembre 2009 - 17 janvier 2010

 

 

 

Le Musée du Luxembourg présente la première exposition monographique du célèbre créateur américain Louis Comfort Tiffany en Europe

(1848-1933).

 

Louis Comfort Tiffany (1848-1933), fils de Charles Lewis Tiffany, fondateur de la célèbre maison Tiffany & Co. à New York, figure incontestablement parmi les plus talentueux créateurs de tous les temps. Son regard de peintre en matière de couleur et de composition, sa passion pour l’exotisme et ses innovations dans le domaine du verre font de lui, dès 1900, un chef de file du design américain dont la réputation s’étend jusque dans les grandes capitales européennes : il rivalise avec les grands verriers européens de la fin du XIXe siècle.

 

L'ornementation somptueuse, le travail soigné, les effets spectaculaires et originaux de lumière et couleur qui caractérisent sa production verrière (vases en verre soufflé, vitraux, lampes et objets) le placent au cœur de nombreux mouvements artistiques de son époque, de l'Arts & Crafts et le Mouvement esthétique américain jusqu'à l'Art Nouveau et le Symbolisme. L’exposition rassemblera environ 160 œuvres (vitraux, vases, luminaires, objets, bijoux et mosaïques, dessins, aquarelles et photos d’époque) qui révèleront la remarquable contribution de ce créateur, tant à l’industrie du verre qu’à l’ensemble des arts décoratifs.

 

Les visiteurs auront l’occasion d’admirer un ensemble exceptionnel de vitraux de Tiffany qui a été démonté, étudié, restauré et transporté à l’occasion de cette exposition. La présentation de ces vitraux à Paris relève d’une prouesse technique et logistique.

 

Divisée en six thèmes, l’exposition abordera les débuts de la carrière de Tiffany: ses séjours en Europe (en particulier à Paris où il étudie la peinture dans l’atelier de Léon-Charles Bailly) puis son intérêt croissant pour l’art du verre; son travail de décorateur d’intérieur pour d’influents clients américains; ses relations avec le marchand d’art parisien Siegfried Bing qui contribue à la diffusion et au succès de ses créations en Europe; les vitraux, un aspect essentiel et pourtant méconnu de sa production; les vases en verre Favrile, aux formes organiques et aux remarquables contrastes de couleurs; enfin l’expansion de l’entreprise reposant, entre autres, sur le commerce des lampes et d’objets décoratifs qui contribue à asseoir son immense popularité.

 

 

Le Musée du Luxembourg a choisi d’organiser à Paris cette exposition conçue par le Musée des beaux-arts de Montréal. Après Paris, l’exposition sera accueillie à Montréal au musée des beaux arts du 11 février au 2 mai 2010 et à Richmond (EU) au Virginia Museum of Fine Arts du 29 mai au 15 août 2010.

 

Le commissariat général de l’exposition est assuré par Rosalind Pepall, conservatrice principale des arts décoratifs (anciens et modernes) du Musée des beaux-arts de Montréal, en collaboration avec deux commissaires invités : Alice Cooney Frelinghuysen, conservatrice (Anthony W. et Lulu C. Wang) des arts décoratifs américains, Metropolitan Museum of Art, New York, et Martin Eidelberg, spécialiste de l’œuvre de Tiffany et professeur émérite d’histoire de l’art, Rutgers University, New Jersey, sous la direction de Nathalie Bondil, directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux- arts de Montréal.

 

La scénographie a été confiée au créateur Hubert Le Gall qui a déjà signé celle de René Lalique, bijoux d’exception, 1890-1912 pour le Musée du Luxembourg (2007).

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