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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 16:05

 

 

 

 

 

 

Des hommes et des dieux  de Xavier Beauvois

 

 

 

Synopsis :

 

 Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 1990. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans. Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur s’installe dans la région. L'armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour…

 

Ce film s’inspire librement de la vie des Moines Cisterciens de Tibhirine en Algérie de 1993 jusqu’à leur enlèvement en 1996.

 

 

Critique

 

 

Xavier Beauvois a réussi une œuvre spirituelle bouleversante qui prend appui sur une certaine idée de Dieu pour mieux nous mener au cœur de l'homme. Sans jamais laisser échapper une scène qui sentirait la reconstitution, ce drame historique touche à ce qu'ils y a de plus profond en nous, que nous soyons croyants ou pas.

 

Il y a des hommes. Des hommes perdus, en proie avec leurs doutes, leurs engagements et leur foi. Des hommes de Dieu face à la violence du monde et à la peur. Revenant sur la tragédie de Tibhirine, le cinéaste propose un portrait contemplatif qui nous fait pénétrer dans l'intimité de ces moines, il y a cependant, quelques longueurs et des passages chargés en symbolisme, mais chaque plan n'en demeure pas moins fascinant. On reste envouté par ce récit mêlé de chants religieux et de prières.

 

Si la religion vous provoque des crises d'urticaires, vous risquez de ne pas le supporter, mais ce serait vraiment rater une expérience de cinéma pas comme les autres. 

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 14:11




 

Cliquez sur le bouton à coté du son pour voir la bande annonce en grand

Avatar de James Cameron

 

Je suis ressortie du cinéma avec des étoiles dans les yeux TANT ce film par sa beauté m'a Transporté Dans un univers fantastique

 

Sur Pandora il y Réside Une créature humanoïde D'UNE MAGIQUE Visuellement Beauté

On y croise des monstres sacrément impressionnants. ON PEUT Succulentes Déguster des fruits.

 

 Dotée d'effets spéciaux vertigineux, cette magistrale fresque épique Paré total Le divertissement D'UNE Ode à Dame Nature, doublée d'un réquisitoire contre l'avidité des Hommes Qui  Y exploiteur osent aussi abusivement les ressources naturelles.

 

 

 

C'est un grand film, A voir absolument en 3D

 

 

 

 

Synopsis:

 

Dans AVATAR nous entraîne un univers spectaculaire Qui repoussé les limites de notre imagination. Un héros malgré lui se lance Dans une aventure épique Qui le conduira à se battre pour sauver un monde lointain; Un Monde considérer des Qu'il finira par être le sien.

 

James Cameron, le réalisateur oscarisé de TITANIC, un commence à Concevoir le film il ya quinze ans, à Une époque Où les moyens pour concrétiser sa vision encore n'existaient pas. Aujourd'hui, après quatre ans de production intensive, offre AVATAR cinématographique Une expérience unique »,« portée par Une nouvelle génération d'effets spéciaux. Une technologie révolutionnaire inventée pour le film Qui laisse toute sa place à l'authenticité émotionnelle des personnages, Pour une immersion totale du spectateur Dans l'intensité de l'histoire.

 

Nous Découvrons ce monde lointain à travers le regard de Jake Sully, un ancien marin immobilisé Dans un fauteuil roulant. Malgré sa paralysie, Jake est un combattant Resté au plus profond de son être. Il Est recrute pour Se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, Où puissants de groupes industriels exploitent un minerai rarissime Destiné à Résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l'Atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, Ceux-ci ont créé le Programme d'Avatar, Qui permet à des «pilotes» humains De Lier Leur esprit à un avatar, un corps biologique à commande à distance, capable de survivre Dans cette Atmosphère létale. Ces avatars SONT DES hybrides génétiquement crees en croisant l'ADN humain avec Celui des Na'vi, Les autochtones de Pandore.

 

Sous sa forme d'Avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie Une mission d'infiltration Auprès des Na'vi, obstacle de l'ONU devenus trop conséquente à l'exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer LORSQUE Neytiri, Une très belle Na'vi, sauve la vie de Jake. Ce dernier est alors recueilli par son clan, et A Travers Nombreuses épreuves Aventures et, il va apprendre Progressivement à devenir l'un des Leurs. Alors que la relation entre Jake et la réticente Neytiri s'approfondit, Jake fr vient acception Le mode de vie des Na'vi et finit par trouver sa place Parmi eux.

 

Reste pour lui à affronter l'ultime épreuve en les MENANT Dans une bataille épique Qui Devra sceller le destin de tout l'monde l'ONU.

 

 

 

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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 23:46




Il y a Tant d'amour Dans ce film ......

J’ai adoré la scène où le « fantôme du métro », joué par Vincent Schiavelli, enseigne à Sam comment déplacer des objets avec ses «puissances de fantôme »



Ghost

 

. Synopsis


Sam Wheat, cadre dans une banque d'affaires new-yorkaise, et Molly Jensen, sculpteur, s'aiment. Alors qu'ils vivent le parfait amour, ils emménagent dans un grand appartement à New York. Un soir, dans une ruelle sinistre tout bascule, Sam se fait agressé et abattre sous les yeux de sa compagne. A sa grande surprise il se voit mort. Devenu fantôme il va s'apercevoir que sa mort n'est pas fortuite et que la vie de Molly est en danger...coincé sur Terre. Il arrive à communiquer avec une fausse médium hystérique. Oda May Brown, qui découvre, par la même occasion, ses réels pouvoirs d'extralucide. Sam va alors enquêter sur sa propre mort et essayer de communiquer avec Molly pour découvrir son meurtrier.

 

 

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28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 18:15




The barber
  - des Frères Cohen

 L'homme qui n'était pas là...

  




Description


Durant l'été 1949, dans une petite ville du nord de la Californie, Ed Crane soupçonne sa femme Doris de le tromper avec le patron du salon de coiffure où il travaille. Un jour, il fait la rencontre d'un voyageur de commerce qui lui propose de faire fortune. Pour cela, Ed devra s'exercer au chantage et aux pratiques les plus illicites.

 

 

Un film sombre et lumineux des Frères Cohen, 9 mai 2004

 

 

Porté par l'interprétation millimétrée de Billy Bon Thornton, ce film est le plus sombre des frères Cohen. Tourné en noir et blanc, les jeux de lumière donnent cependant une dimension "lumineuse" à cette intrigue où chaque personnage semble dissimuler une part de mystère. Deux heures et quelques de pur bonheur, à voir impérativement en VO. L'idéal demeurant de s'installer dans un fauteuil de "barber" pour visionner ce chef d'œuvre !

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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 14:48

 



Les Enfants du Paradis, 1945, de Marcel Carné

 

On ne peut décidément pas parler de Cinéma sans évoquer le film,
 «  Les enfants du paradis »……

 

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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 19:07

Cannes 09: PALME D'OR: LE RUBAN BLANC DE MICHAEL HANEKE





Un film allemand, autrichien, français et italien de Michael Haneke avec Christian Friedel, Leonie Benesch, Ulrich Tukur, Ursina Lardi, Michael Kranz, Burghart Klaussner, Steffi Kühnert, et Josef Bierbichler

 

 

 

Un bon film Qui a bien mérité sa palme à Cannes. Le Concevoir en noir et blanc N'EST PAS un argument majeur et je sais des maîtres de la couleur Qui auraient réussi à Conserver la puissance dramatique de l'œuvre.


Il Faut dire que les fameux rubans blancs ne representent Qu'un bref épisode et nous raccrochent Peut être à un futur autoritarisme des nazis avec des brassards et des tortures. Mais à mon avis, on est plutôt en présence d'un ONU Une Manière avant de vie rurale la Guerre de 14-18 avec la dureté du travail, les chignons serré des Femmes et l'écriture en gothique, Qui se mélent aux histoires d'amour et A la Une enquête policière au sein de la SCÉ villageois asservis par le baron du coin Tandis que le réalisateur nous dévoile les actes pervers du pasteur et du médecin local.


Comme le cinéma, c'est du sérieux, sans musique de fond, au gré de séquences funestes et funèbres Une décrites aux contrastes assourdis par l'image, avec des intérieurs crépusculaires Où se déploient les rigueurs de la terrible Autorité familiale et religieuse au fil de coutumes et d'usages que l'on espère révolus et que le réalisateur TRANSMET Avec un brio et virtuosité.

Voilà un film terrible, cruel, fascinant pourtant par cette vision d'humanité Une d'antan, Qui nous une rencontre en appétit et interloqué et nous laisse sur notre faim lorsqu'il se termine.

Je ne connais pas très bien les acteurs, mais quels talents et quel réalisme. 

 

L'histoire

 

Un village de l'Allemagne du Nord protestante. 1913/1914. À la veille de la Première Guerre mondiale. L'histoire des enfants et des adolescents d'Une chorale dirigée par l'instituteur du village, Leurs familles: le baron, le régisseur, le pasteur, le médecin, la sage-femme, Les Paysans. D'étranges accidents surviennent 

 

 

 

Un avis 

 

Que ce film divise pourquoi s'en étonner? La palme d'or Pleinement méritée, N'EST PAS Destinée à Récompenser Une oeuvre cinématographique consensuelle. Michael Haneke signe là un chef-d'œuvre. Sûr de son art, Prenant à rebrousse-poil Ceux qui vont au cinéma pour simplement se distraire, il assume toutes ses Audaces. N'EST PAS thème «Le nouveau, mais il est porteur, sur de l'interet pour les autres des histoires d'hier ou d'aujourd'hui. Dès le départ Haneke Imposer sa Règle: Le noir et blanc ... ...

 

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 18:28



HARVEY MILK  de Gus Van Sant



E
n mêlant le titre de son film au générique, de la même manière que tout autre membre de son casting, Gus Van Sant affichait un parti-pris narratif clair. Comme le confirmera l'annonce de sa mort en tout début de métrage, HARVEY MILK exposait clairement ses ambitions dans cette volonté de ne pas se conformer au tout-venant du biopic, pour qui la biographie du personnage est souvent présentée dans une large période temporelle. A l'instar du récent COLUCHE, L'HISTOIRE D'UN MEC, d'Antoine De Caunes, ou plus évident, du diptyque de Steven Soderbergh consacré au CHE, la personnalité mise en avant n'est qu'une partie d'un tout, un élément acteur dont le récit sert avant tout à dépeindre une époque ou un contexte précis. Ici, ce pour quoi l'on connaît avant tout Harvey Milk, à savoir la vie politique qu'il mena tant bien que mal dans l'objectif de défendre les « nous autres », que la communauté homosexuelle caractérisait malgré elle.

Sujet qui aurait tout à fait pu tomber entre les mains de quelques opportunistes, et devenir l'étendard arriviste d'un sujet dont il est aujourd'hui bon de parler pour tout démago qui se respecte. Fort heureusement, Gus Van Sant assume clairement son sujet et n'hésite pas à mettre en scène de langoureux baisers ou de scènes de nu entre James Franco et Sean Penn, le tout ponctué de dialogues bien sentis sur leur communauté, histoire de créer une analogie inconsciente chez les culs pincés, quant aux combats honteux menés par des bien-pensants qui rejetaient constamment ce qu'ils ne comprenaient pas. Attitude qui n'a ceci dit pas bien évolué depuis le cœur des années 70, époque de discrimination où HARVEY MILK prend place et dont il retranscrit les états d'âme au gré de l'ascension sociale et politique de cet homme devenu superviseur.

Orchestré selon une structure narrative fondée sur l'enregistrement testamentaire de Milk, qui se remémore le combat qui l'a mené à se sentir menacé de mort, HARVEY MILK témoigne du retour de son réalisateur à un cinéma ouvertement moins contemplatif. Une dynamique de récit qu'exigeait le scénario de Dustin Lance Black, dont la densité, dépendante du contexte qu'il décrivait, ne permettait a priori pas une quelconque expérimentation à l'aune du sujet lui-même. Le cinéaste américain ne se prive cependant pas pour dissimuler des thématiques ou donner du sens à l'image, au travers d'un découpage qui cloisonne son personnage principal dans l'embrasure d'une porte lors de l'enregistrement, faisant état d'un état mental spécifique. Un plan qui trouvera son écho un peu plus tard, lors de cette conversation avec un adolescent que l'on découvrira handicapé à la faveur d'un raccord dans l'axe, et dont le cadre se trouvera identique à celui cité plus haut. Et ces échos de se répéter tout le long d'un métrage qui n'aura de cesse de traduire visuellement thématiques et pensées des personnages via une mise en scène pensée intégralement en fonction du récit.

Extrêmement documenté (4 ans de réécriture furent nécessaires), celui-ci rend ses personnages complexes et sait leur donner une véritable identité psychologique, mais pêche peut-être un peu trop dans leur finition. Difficile ainsi d'établir clairement les conditions de la déchéance du personnage de Dan White, futur meurtrier de Milk dont les échecs ne sont que succinctement énumérés. A trop vouloir bien faire, HARVEY MILK pêcherait aussi presque de par son aspect manichéen si son authenticité historique était encore à démontrer. Van Sant et son scénariste ne lésinent en effet jamais sur les stock shots en tous genres (les lobbys, Anita Bryant, les arrestations de gays) pour étayer leur volonté flagrante de faire parvenir au monde un message de respect quant aux différences. Un objectif atteint heureusement de main de maître, grâce à un traitement qui privilégie la puissance de la pression sociale (volonté de rester dans le placard...) sur toute morale mignonnette sur le droit à la différence. L'idéal pour permettre au spectateur de s'attacher aux personnages et faire naître l'émotion à chaque instant. Peut-être même trop facile quand un casting aussi mémorable se permet la perfection, dont un Sean Penn absolument sensationnel que l'on ne peut évidemment pas oublier de féliciter.

 

 

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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 16:01

  

 

Doute de John Patrick Shanley.

L’histoire


A New York en 1964, le prêtre d'une paroisse est suspecté de gestes pervers sur un ado qui suit les cours de l'école catholique du quartier, au grand dam de la directrice de cet établissement qui entre en lutte avec le religieux, lequel réagit et veut se justifier de ce qu'il considère comme une confusion...

*************

Même si l'on a le bonheur de posséder la foi, le doute doit en faire partie, sinon c'est fichu, que ce soit en religion ou en littérature ou en arts.

En ce film, c'est de religion dont il est question, avec son cortège de certitudes, de péchés et naturellement de doute. Il pourrait en en résulter une œuvre lassante, ennuyeuse, pontifiante, et pourtant, rarement je me suis retrouvé fasciné par cette implacable lutte de deux religieux qui s'affrontent tantôt en paroles feutrées, parfois en termes violents dans l'univers clos et restreint d'une école catholique du Bronx en 1964.

La réalisation est étonnante de souplesse et la caméra se faufile entre ces deux détenteurs d'autorité avec un soin quasiment diabolique où l'on sent presque la cire et l'on ressent profondément le combat des êtres et des consciences au gré d'épisodes ramassés, captivants, où la notion du temps échappe à la réalité du problème du doute et de l'intolérance.

Meryl Streep, pratiquement de tous les plans, confère à ce film une dramaturgie impressionnante par le talent dont elle fait preuve à dominer gestes et postures dont l'effet se révèle avec passion sur quelques traits de son visage.

Philip Seymour Hoffman est remarquable de concentration et de puissance dans un rôle délicat et difficile auquel il accorde une humanité évidente malgré ses remarques acérées.

Voilà un film bâti pour les récompenses à venir…..

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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 19:50

 



Parle avec elle de Pedro Almodovar

 

Description

Benigni, un jeune infirmier, et Marco, un écrivain d'une quarantaine d'années se rencontrent à la clinique El Bosque, où travaille Benigno. Lydia, la petite amie de Marco, torero professionnel, est plongée dans un profond coma à la suite d'un accident survenu lors d'une corrida. Benigno, quant à lui, est au chevet d'Alicia, une jeune danseuse également dans le coma. Lorsque Marco passe à côté de la chambre d'Alicia, Benigno, sans hésiter, s'approche de lui. C'est le début d'une grande amitié quelque peu mouvementée.

 

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