Connaissez-vous ce peintre ?moi ! Je l’ai découvert voici quelques années….j’adore sa peinture…….
Claude Verlinde ,Maître de l’étrange

Claude Verlinde expose régulièrement à Paris, au Japon, à New-York et à Berlin.
Il est aujourd’hui reconnu comme un maître de l’Art Visionnaire, art basé sur un fusionnement d’images et de symboles. Son origine flamande explique peut-être qu’une partie de sa peinture soit dans la lignée des oeuvres de Hieronimus Bosch, des mystiques flamands et de la Renaissance. Il mêle dans ses œuvres poésie et philosophie. Les toiles de Claude Verlinde touchent à l’âme de celui qui les regarde, l’entraînent vers des univers souvent refoulés, suscitent le rêve, l’imagination et les visions. Elles invitent à franchir les frontières pour oser la découverte.
La richesse de sa peinture, sa grande sensibilité et son imaginaire d’exception, maîtrisés par une technique rigoureuse, font de lui un Maître incontesté de l’art visionnaire de notre époque, créateur d’une œuvre unique et magistrale dont Vascoeuil présente un très bel ensemble d’huile, qu’accompagne une série de dessins, études préparatoires aux peintures.
Depuis plus de 50 ans, Claude Verlinde achemine la peinture sur les sentiers de la poésie et de la philosophie.
Il nous offre une peinture nourrie de symboles
Claude Verlinde sent très tôt sa vocation et entre à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris puis à l'Académie de la Grande Chaumière vers l’âge de vingt ans. Très vite, la richesse de sa peinture, sa grande sensibilité maîtrisée par une technique rigoureuse, font de Verlinde un maître incontesté de l’art visionnaire de notre époque
En tant que carte de tarot, “le bateleur“ nous présente le monde comme un jeu parallèle à la réalité. Les éléments essentiels de la vie sont à notre disposition… à nous d’entrer dans l’arène et d’en user.
Jouer s’il se peut avec le sens du paradoxe, les choses sont et ne sont pas ; sur ce fait, il n’est pas demandé de choisir mais d’accorder
Rien n’est expliqué, tout est expressif. Ce regard-là, peut-être celui du peintre, pour que la peinture soit le miroir des apparences. Ne pas savoir ce que les parties visibles nous cherchent doit être considéré comme une liberté fondamentale ainsi qu’un terrain d’envol pour le rêve. C’est par ses multiples apparences que le monde tient la conscience en éveil et permet d’accepter ce qui ne s’explique pas. Avec l’image nouvelle vient l’éveil dans une autre contrée, avec le besoin, l’envie d’être et de méditer sous son ciel, s’enivrer de cet étrange parfum… toute la vie est là aussi. Comme l’eau suit les ravines et les pentes, les sensations suivent les images. “