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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 12:36

 

Le dalaï-lama à la Maison Blanche



Hum! Les amis de mes amis sont ils .... Mes ennemis? ... ... ..

 

 

Le dalaï-lama à la Maison Blanche, la plainte de la Chine

 

Les Autorités chinoises Ont convoqué vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire Officiellement partie de Leur mécontentement après la rencontre entre le président Barack Obama et le dalaï-lama.

 

La rencontre entre le président américain Barack Obama et le dalaï lama, jeudi matin à la Maison Blanche rend furieuse Pékin. Pour le ministère chinois des Affaires étrangères, elle porte «préjudice seriously" aux relations sino-américaines. "L'action américaine est Une sérieuse Ingérence Dans les affaires intérieures chinoises, Sérieusement blesse les sentiments du peuple chinois et porte préjudice» Gravement aux liens sino-américains ", at-il déclaré.

 

La Chine une Annoncé Qu'elle convoquait vendredi l'ambassadeur des Etats-Unis pour lui faire Officiellement partie de Son mécontentement après cette rencontre Qui s'etait pourtant voulu discret, une l'abri des caméras et Loin du Bureau ovale, Dans la salle des cartes. Malgré cette retenue de Washington, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères un juge que cette entrevue constituait "Une de la violation répétée de reconnaissance par le Gouvernement américain que le Tibet faisait longtemps partie de la Chine".

 

Un problème de l'entretien de l'entre Barack Obama et le dalaï-lama, Qui a Duré un peu moins d'Une Heure, le leader bouddhiste donne-a choisi une mini-rare-Une conférence de presse à l'extérieur du Palais. "Le président fait un élément de soutien fils", at-il déclaré. De son côté, la Maison-Blanche publiait un communiqué sur le contenu des discussions. Selon elle, Barack Obama a une Exprime son "fort soutien" à la cause des Droits de l'Homme et à l'identité culturelle et religieuse "unique" du Tibet.

 

Le dalaï lama, exilé en Inde depuis 1959, n'avait PAS ETE REÇU PAR Barack Obama Lors de précédent aux Etats-Unis son passage en octobre dernier. Le président américain souhaitait alors ménager Pékin avant sa première visite en Chine un mois plus tard. Cette concession lui Avait valu à les critiques des défenseurs des Droits de l'homme.

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19 février 2010 5 19 /02 /février /2010 00:13



Alain Souchon -
Et s'il n'y avait personne?

à méditer.......


Paroles chanson

Alain Souchon - Et s'il n'y avait personne?

*********

Abderhamane, Martin, David
Et si le ciel vide Était
Tant de processions, Tant de têtes inclinées
Tant de capuchons Tant De peur souhaitées
Tant de démagogues de Temples de Synagogues
Tant de mains pressées, de prières empressées

Tant d'Angélus
Ding
Qui résonne
Et si en plus
Ding
Y'a personne

Abderhamane, Martin, David
Et si le ciel vide Était
Il y est un Tant De torpeurs
De musiques antalgiques
Tant d'anti-douleurs Dans CES jolis cantiques
Il y est un Tant De Tant De Questions et Mystères
Tant de compassions et TANT RÉVOLVERS de

Tant d'Angélus
Ding
Qui résonne
Et si en plus
Ding
Y'a personne

Hachem Arour, Inch Allah
Sont Krishhna, Alleluia

Abderhamane, Martin, David
Et si le ciel vide Était
Si toutes les balles Traçantes
Toutes les armes de poing
Toutes les femmes ignorantes
Ces enfants orphelins
SI CES VIES Qui chavirent
Ces yeux mouillés
Ce n'était que le vieux plaisir
De zigouiller

Et l'Angélus
Ding
Qui résonne
Et si en plus
Ding
Y'a personne

Et l'Angélus
Ding
Qui résonne
Et si en plus
Ding
Y'a personne



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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 23:58


livres

Personne n'a jamais tout à fait tord. Même une horloge arrêtée donne l'heure juste deux fois par jour.

 

Proverbe Chinois

**********

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 23:36

songe

Ô triste, triste était mon âme...

 

Ô triste, triste était mon âme

A cause, à cause d'une femme.

Je ne me suis pas consolé

Bien que mon cœur s'en soit allé,

Bien que mon cœur, bien que mon âme

Eussent fui loin de cette femme.

Je ne me suis pas consolé

Bien que mon cœur s'en soit allé.

Et mon cœur, mon cœur trop sensible

Dit à mon âme : Est-il possible,

Est-il possible, - le fût-il -

Ce fier exil, ce triste exil ?

Mon âme dit à mon cœur: Sais-je

Moi-même que nous veut ce piège

D'être présents bien qu'exilés,

Encore que loin en allés ?

 

Verlaine

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 16:15

Photographie - Lisette Model

 

Au Jeu de Paume

 

du 09 février au 06 juin 2010


photographie - Lisette Model 

Belmont Park

New York, 1956

 

 

Pour Lisette Model (1901-1983), photographe américaine d’origine autrichienne, la photographie permet de traquer les aspects d’une réalité en perpétuel changement. Photographiant de manière instinctive, audacieuse et directe, elle produit des images sans concession mais chargées d’humanité qui lui confèrent une place à part dans le courant de la Street Photography qui se développe à New York pendant les années quarante. "Photographier avec vos tripes", avait-elle coutume de dire à ses élèves – parmi lesquelles figures Diane Arbus.

 

L’exposition présente, à travers une sélection de 120 tirages vintage, les travaux les plus représentatifs de Lisette Model, depuis ses premières photographies réalisées à Paris (1933) et sur la Promenade des Anglais à Nice (1934), jusqu’aux images plus tardives réalisées aux États-Unis entre 1939 et 1956, à New York (Lower East Side, Coney Island, les bars populaires, les passants), ou à l’Opéra de San Francisco.

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 14:11

Hokusai Katsushika


 


Katsushika Hokusai?, 1760-1849), connu plus simplement sous le nom de Hokusai (北斎), ou de son surnom de « Vieux Fou de la peinture », est un peintre, dessinateur spécialiste de l’ukiyo-e, graveur et auteur d'écrits populaires japonais. Son œuvre influença de nombreux artistes européens, en particulier Gauguin, Van Gogh et Claude Monet, voire le mouvement artistique appelé japonisme. Il signa parfois ses travaux, à partir de 1800, par la formule Gakyōjin, « le Fou de dessin ». Il est tantôt estimé comme le père du manga ou qu’il a inventé le mot qui signifie à peu près « esquisse spontanée

 

Hokusai naît dans le quartier de Warigesui, district de Honjō (zone rurale encore connue sous le nom de Katsushika) à Edo ou basse de Tokyo, le 9e mois de la 10e année de la période Horeki (octobre-novembre, 1760) de parents inconnus. Il est adopté vers l'âge de trois ou quatre ans par une famille d'artisans. Son père adoptif, Nakajima Ise, est un fabricant de miroirs pour la cour du shogun. Hokusai, alors appelé Tokitanō, manifeste dès lors des aptitudes pour le dessin et de la curiosité pour la peinture.

 

 

En 1773-1774, il est en apprentissage dans un atelier de xylographie et en 1775 il grave lui-même les six dernières feuilles d'un roman humoristique de Sanchō. En 1778, il intègre l'atelier du maître Katsukawa Shunsho (1726- 1792), un peintre d'estampes ukiyo-e, spécialiste des portraits d'acteurs. C'est dans cet atelier que commence son travail d'artisan du dessin et de l'estampe aux revenus modestes. L'année suivante, il produit sous le nom de Katsukawa Shunrō une série de ces portraits très réussis. Il quitte cependant l’atelier à la mort du maître du fait de désaccord avec son successeur Shunko.

 

Hokusai connaît alors une période de grande pauvreté durant laquelle il étudie les techniques des écoles de Kano Yusen, Tsutsumi Torin et Sumiyoshi Naiki. Il subit aussi l’influence de l’art occidental et découvre la perspective grâce à un artiste japonais, Shiba Kokan, qui fréquente les Hollandais, seuls autorisés à amarrer à Nagasaki.

 

Vers 1794, il réintègre une école classique : le clan Tawaraya de la tradition Rimpa. En 1795, il illustre sous le nom de Sōri le recueil poétique Kyōka Edo no Murasaki qui lui vaut son premier succès. De 1796 à 1799 il produit un grand nombre d'albums et d’estampes en feuilles séparées appelées surimono. C'est à la même époque qu'il adopte pour la première fois le nom de Hokusai et se donne en 1800 le surnom de Gakyōjin Hokusai, « le Fou de dessin ». En 1804, il peint, dans la cour du temple d’Edo, au moyen d’un balai et d’un seau d’encre de Chine, un daruma géant de plus de 240 m² que l’on doit hisser jusqu’aux toits pour permettre à l’assistance de l’admirer. Il réitère cet exploit en 1817 à Nagoya.

 

En 1812, Hokusai commence à parcourir le pays, de l’ancienne capitale Kyōto à la ville nouvelle de Edo. Il s’arrête à Nagoya, où il rencontre Bokusen, un autre artiste. Suivant les conseils de ce dernier, il publie deux ans plus tard sa Manga : recueils de ses innombrables carnets de croquis, d’études originales et marginales. La publication de cette série de livres d’images s'étend jusqu'en 1834 et comprend douze volumes.

 

Âgé de soixante ans, Hokusai prend le nom de Iitsu pour signifier son passage dans un nouvel âge et s'adonne à cette période à l'illustration de livres.

 

1831 voit la parution d’une de ses œuvres majeures, la série d’estampes Fugaku Sanjūrokkei ou Trente-six vues du mont Fuji, qui lui vaut une reconnaissance mondiale. Il se sert alors du bleu de Prusse, introduit au Japon en 1829 et dont Keisai Eisen avait déjà tiré profit. Il produit dans la même période plusieurs séries d’estampes qui rompent toutes avec la tradition de l’ukiyo-e. C’est ainsi au début des années 1830 que voient le jour les séries des Cascades, des Ponts, des Oiseaux et des Fantômes (cette dernière interrompue à la fin de la cinquième planche).

 

Il quitte Edo fin 1834 pour passer une année à Suruga dans la péninsule de Miura au sud d’Edo et publie l’année suivante sa série Fugaku Hyakkei ou les Cent Vues du Mont Fuji, qui reprend au trait tout son travail sur le paysage.

 

Vers le milieu de 1836, il retourne à Edo alors que la capitale connaît l’année de la Grande Famine. Il survit grâce à la vente de ses œuvres contre un peu de nourriture et arrête sa série de Cent Poètes et Poèmes, commencée au début de l’année, à la vingt-septième planche.

 

En 1839, un incendie vient dévaster son atelier, emportant avec lui les travaux accumulés des dernières années. C'est à cette époque qu'un jeune artiste, Hiroshige Ando vient concurrencer sa célébrité]. Les dix années qui suivent furent paisibles en matière de production. On raconte que, chaque matin, il s’efforçait de produire au moins un dessin, rituel auquel il s’adonna jusqu’à sa mort.

 

C'est en 1845 qu'il fait son dernier voyage à la rencontre d’un ami de la province de Shinano. Il exécute au cours de cette visite quelques peintures dans un temple.

 

Il meurt le 10 mai 1849 et ses cendres sont déposées dans un tombeau au temple Seikiō-ji, dans le quartier populaire d’Asakusa, à Edo, où il avait passé la majeure partie de sa vie. Il laisse derrière lui une œuvre qui comprend 30 000 dessins. Sur sa pierre tombale il laisse cette épitaphe : "Oh! La liberté, la belle liberté, quand on va aux champs d'été pour y laisser son corps périssable !"

 

Sur son lit de mort, il prononce ces dernières paroles : « Encore cinq ans de plus et je serais devenu un grand artiste »

 

 

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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 19:14


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L'amitié est une harmonie entre deux êtres qui ont les mêmes besoins

" inconnu"

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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 18:55




Turner

Turner et ses peintres

 

Galeries nationales, Grand Palais

 

24 février 2010 – 24 mai 2010

 

 

 

Présentation Turner et ses peintres

 

Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux, le musée du Louvre, Paris, la Tate Britain, Londres et le Musée du Prado, Madrid.

Elle a été présentée à la Tate, Londres du 23 septembre 2009 au 31 janvier 2010. Elle sera ensuite présentée au musée du Prado, Madrid du 22 juin au 19 septembre 2010.

 

La profonde singularité du peintre de paysages britannique J.M.W. Turner (1775-1851) s’est nourrie de son dialogue avec la peinture tant des maîtres anciens que des ses contemporains tout au long de sa très longue carrière. Ce dialogue, souvent inquiet, pointilleux, volontiers compétitif mais toujours fécond, a nourri le parcours exigeant du peintre. Dès ses débuts, au milieu des années 1790, Turner se montre un aquarelliste particulièrement doué et ambitieux rivalisant avec les plus grands de ses contemporains (dont son ami Thomas Girtin (1775-1802) mais aussi avide de maîtriser la technique picturale en s’inspirant du paysagiste gallois Richard Wilson (1713-1782) et en visitant les premières collections privées britanniques qui, en l’absence de musée, détiennent les œuvres des maîtres anciens que Turner brûle d’égaler.

Tout jeune encore, il fond en larmes devant un tableau de Claude le Lorrain (1600-1682), désespérant de faire aussi bien. Remarqué par ses pairs, il expose très jeune à la Royal Academy et joue volontiers à l’émulation avec ses contemporains tant peintres qu’aquarellistes. Son ambition impérieuse, le pousse à sans cesse étendre le vaste champ de ses connaissances artistiques et de ses champs d’investigation : aquarelles topographiques, marines, paysages classiques, paysages fantastiques, voire scènes de genre ou peintures d’histoires. La variété de ce parcours s’appuie sur la variété des références que cet avide génie sait rassembler.

 

Appliquant d’abord fidèlement les méthodes de la jeune tradition des aquarellistes anglais, Turner aborde la peinture en suivant avec application l’exemple des paysagistes hollandais rembranesques dans une gamme chromatique sombre et encore restreinte. L’exemple stimulant et déjà classique de son grand devancier Richard Wilson l’engage vers le tournant du siècle à entreprendre des paysages classicisants de plus grande ampleur et de coloris plus soutenu. Il étudie en parallèle, avec déférence et bientôt la volonté d’en découdre, l’art des grands paysagistes actifs en Italie au XVIIe siècle : Salvatore Rosa (1615-1673) et Nicolas Poussin (1596-1665). Loin de pasticher ces grands modèles, Turner bouscule d’un souffle puissant et tempétueux la perfection de leurs harmonieuses compositions en inaugurant presque la magistrale tradition du paysage fantastique britannique avec Le Déluge (1805, Tate) directement inspiré du tableau éponyme de Nicolas Poussin (1664, Louvre).

L’exposition propose pour leur confrontation, ses quelques tentatives dans le domaine de la peinture d’histoire (Sainte famille de 1803, collection de la Reine, ou Vénus et Adonis vers 1805, collection privée) qui se nourrissent d’un chromatisme plus riche et plus soutenu fécondé par l’étude de Titien (vers 1490-1576) (La Vierge au lapin vers 1530, Louvre) et de Claude. Ses petites peintures de figures rivalisent à la fois avec des maîtres méconnus à l’époque tels Watteau (1684-1721) (Ce que vous voudrez !, 1822, Williamstown, Clark Institute) ou ses rivaux les plus célèbres tels David Wilkie (1785-1841). Le dialogue fructueux avec les paysagistes de la génération suivante, Bonington (1802-1828) (Scène de la côte française avec des pêcheurs de 1826, tate) et Constable (1776-1837) (L’inauguration du pont de Waterloo, 1829, Tate) vont exalter encore la liberté de touche et de ton de Turner (La plage de Calais, 1830, Bury Art Gallery ou Le Bateau échoué vers 1828, Tate). _ Après 1820, la découverte de Venise (Venise vue du porche de la Madone de la Salute, 1835, New York, Metropolitan Museum) et l’approfondissement de l’étude de Claude Lorrain portent les compositions de Turner vers un très grand raffinement chromatique et une maîtrise des compositions à plans multiples et vaporeux (Palestrina Composition, 1828, Tate). L’exposition permettra à ce titre, comme Turner l’avait lui-même souhaité, de confronter un de ses plus complexes chefs d’œuvre, Le Déclin de l’empire carthaginois (1817, Tate) avec deux des visions magnifiques de Claude Lorrain qui l’ont inspirée : Le Port de mer au soleil couchant (Louvre, 1639) et Le Débarquement de Cléopâtre à Tarse (Louvre).

C’est par la confrontation exigeante et sans arrêt provoquée avec ses peintres de prédilection que Turner a construit son affranchissement, sa sidérante liberté de peindre portée à son apogée dans sa dernière décennie d’activité (Tempête de neige, bateau à vapeur au large d’un port, 1842, Londres, Tate).

 

L’exposition « Turner et ses peintres » retrace et illustre cette construction de la vision de Turner, riche de rencontres multiples, fortuites ou provoquées, mais toujours opportunes et fécondes, tout au long de sa remarquable carrière. Elle rassemble près de 100 tableaux et œuvres graphiques (études, gravures) provenant de grandes collections britanniques et américaines, des musées du Louvre, du Prado, et de Londres.




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17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 13:23


le plus grand livre
"Le plus grand livre du monde",

pesant 250 kg, exposé à la Foire de La Havane

 

Un livre de 3,20 mètres de long par deux mètres de largeur, pesant quelque 250 kg, est exposé depuis mardi par le Pérou, qui veut battre le record du monde Guinness en la matière, dans le cadre de la Foire internationale du Livre de La Havane.

 

 

Le texte illustré de 160 pages, intitulé selon une traduction littérale "Le Meilleur de la pensée universelle", rassemble pensées et aphorismes de 2.000 auteurs et personnalités, de Confucius à Gabriel Garcia Marquez, en passant par Shakespeare, Gandhi et Mère Teresa, a constaté un journaliste de l'AFP.

 

Le livre est exposé à la forteresse historique de la Cabaña, siège de la 19e édition de la Foire du Livre de La Havane qui s'est ouverte jeudi et se termine le 21 février.

 

C'est la Maison d'édition péruvienne "Les plus petits livres du monde" qui, après avoir justement publié le livre le plus petit du monde, s'est donnée pour tâche d'en publier le plus grand.

 

Selon l'ambassade du Pérou à La Havane, des démarches ont été entreprises auprès du livre de record Guinness pour faire enregistrer ce livre d'aphorismes comme le plus grand au monde.

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 12:36

nouvel%20an%20chinois


Depuis quelques temps, Dans Mon quartier, Les Chinois préparent le défilé du Dragon 2010, nous assistons avec plaisir À ces préparatifs, nous voyons le dragon Visiter les restaurants et boutiques, sa danse est Sensée apporter Argent et prospérité, la musique et les pétards accompagnent cette danse, c'est vraiment un très joli spectacle,
Il ya beaucoup de joie et de bonheur ..... Mais le meilleur reste a venir ...

13e arrondissement: Défilé du Dragon le dimanche 21 février

 

 Des défilés hauts en couleur dimanche auront lieu Dans les rues du treizième arrondissement de Paris à l'occasion de la nouvelle année chinoise

 

Des centaines de milliers de Chinois et d'Asiatiques d'origine chinoise vivant en France célèbrent à partir de dimanche le début de l'année du Tigre, des festivités symbolisant le renouveau, la famille réunie et l'espoir de Prospérité. Selon le calendrier agricole chinois, lunaire et solaire, marque le 14 Février laotiens pour les 600.000 à 700.000 Chinois et Asiatiques d'ascendance chinoise (Vietnamiens,, Cambodgiens ...) installés en France (dont 50% en région parisienne, première communauté chinoise d'Europe), Le Passage de l'année du Bœuf A Celle du Tigre de métal, de courage et solidarité Evoquant.

nouvel an chinois


«Le nouvel an chinois (nónglì Xinnian), également appelé Fête du printemps ou Fête du Têt au Viêt Nam, est la fête la plus importante pour les diasporas chinoises à travers le monde et Autant Sont d'un moment unique de transmission de traditions millénaires Au sein des familles,

 

Pour vous éblouir, le célèbre défilé, des chants et musiques traditionnelles joués de Manière orchestrale ... oublier les pétards, les lanternes, les danses du lion et des sans lanternes dragons.

 

la danse du dragon



Avec l'orchestre national de musique de Chongqing, composé de professionnels des écoles d'arts et des troupes de théâtre. Mis à partie un spectacle original et varié, l'orchestre à un Éventail de grandes performances musicales Telles que le solo, les instruments les petits, le chant. 

 

Défilé



Ces célébrations DOIVENT Durer Une quinzaine de jours et s'achever par la Fête des lanternes



Un peu d'histoire... ..

 

La première communauté Chinoise à S'installer en France et Plus précisément Dans le 13e arrondissement de Paris, Était composée des Travailleurs Employés en que TANT Main d'œuvre pendant la première Guerre Mondiale.

 

Peu à peu, le Quartier Chinois S'est Développé avec deux vagues (1920 et 1970); L'Arrivée d'étudiants, puis de réfugiés du Vietnam et de Chine. Un triangle géographique s'est formé (Avenue de Choisy, avenue d'Italie-périphérique) devenu aujourd'hui le plus grand quartier chinois de France.

 

Les associations chinoises Cris Ont ce défilé en 1989. Grand événement du Nouvel an chinois, il connait Chaque année Une affluence de plus de 100 000 spectateurs.

 

Cette année, le défilé aura pour thèmes: prier pour la santé et le bonheur des chinois, souhaiter la paix dans le monde, et Promouvoir le Développement de l'Économie et de la culture française en propageant la culture chinoise.

La nouvelle année du Tigre célébrée en Asie (Le Nouvel An vietnamien est également concomitante Au Nouvel An chinois) débutera le 14 février 2010.

 

De Nombreuses festivités organisées seront parmi elles et les fameux défilés du dragon. Si vous ne deviez Assister Qu'à UN SEUL DE CES carnavals, choisissez Celui Qui aura lieu Dans Le Plus Grand Chinatown de Le Quartier Chinois du 13ème, arrondissement de Paris.

 






 



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